"How the World Might Be" est une exposition personnelle du photographe et artiste basé à Los Angeles Ara Oshagan, présentée à la Tufenkian Gallery du 7 janvier au 5 février 2022. Oshagan expose quatre projets, un film, une installation qui tisse ensemble les intérêts de l'artiste dans la possibilité diasporique, les héritages de la dépossession et les futurs (non) imaginés. Le vernissage de l'exposition aura lieu le 15 janvier, où Ochagan lancera son livre, "Déplacé." Le livre présente les difficultés de la mémoire diasporique, le déplacement, la violence et la dépossession, en se concentrant sur le quartier arménien de Bourj Hammoud, Liban . La Fondation Gulbenkian a soutenu la sortie de ce livre. Les œuvres d'Oshagan explorent les ambiguïtés de son identité, mettant en lumière la vie de communautés perturbées et marginalisées. En tant que tel, "How the World Might Be" utilise la photographie, le film, le collage et l'installation pour présenter une vision multidisciplinaire des communautés de la diaspora. Le "Beirut Memory Project" d'Oshagan, "Shushi" et "Artsakh" abordent les relations de l'artiste avec chaque région à plusieurs niveaux. Il essaie de relier les récits historiques au présent. Les travaux relient la Catastrophe de 1915 à celles qui se déroulent encore aujourd'hui.
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